mercredi 29 octobre 2025

Les Juifs chassés des pays arabes et les pogroms en Palestine

par Théo Lapierre

L'histoire que le monde raconte du Moyen-Orient comporte un chapitre manquant – un chapitre arraché, brûlé et enterré. C'est l'histoire de 850 000 Juifs chassés de chez eux par ces mêmes régimes qui, aujourd'hui, ne cessent de sermonner sur les souffrances des Palestiniens.
Pendant des siècles, les Juifs ont vécu en terres arabes et musulmanes comme dhimmis – une classe tolérée mais subordonnée, autorisée à pratiquer leur culte à condition de s'acquitter d'un impôt exorbitant. C'était une protection financière enveloppée de piété. Ils vivaient à la merci des dirigeants, étaient souvent contraints de porter des insignes distinctifs, confinés dans des ghettos et soumis périodiquement à des pogroms qui interrompaient de longues périodes de coexistence précaire.
Pourtant, la vie juive était profondément ancrée dans le tissu du monde arabe. Bagdad comptait un quart de juifs en 1910. Les Juifs du Caire dirigeaient ses banques et sa presse. Les Juifs d'Alep gardaient le légendaire Codex d'Alep. Les Juifs du Yémen préservaient une liturgie hébraïque plus ancienne que l'exil babylonien lui-même.
Tout cela a disparu en l'espace d'une génération, après la renaissance d'Israël en 1948, mais tout avait commencé bien avant.
En 1929, dans la ville sainte d'Hébron, des foules arabes ont massacré 67 Juifs, mutilé des corps et détruit des synagogues dans une communauté millénaire. La police britannique est restée les bras croisés tandis que des voisins s'en prenaient à d'autres. L'ironie du sort voulait que la Haganah, la milice juive, ait sommé les Juifs d'Hébron de fuir, mais qu'ils aient refusé, affirmant avoir vécu en paix parmi les Arabes. Ce massacre n'était pas une aberration, mais un avant-goût : un avertissement de la haine féroce qui allait plus tard consumer la vie juive dans tout le monde arabe.
En Irak, le pogrom de Farhud de 1941 fut la sombre répétition suivante. Alimentées par la propagande nazie, des foules à Bagdad assassinèrent près de 200 Juifs, pillèrent 600 commerces et profanèrent des synagogues. En 1948, la législation antijuive rendit la vie juive intenable. La loi n° 1 de 1950 du Parlement irakien déchut les Juifs de leur citoyenneté, les obligeant à quitter le pays immédiatement et à se défaire de leurs biens.
Le Premier ministre Tawfiq al-Suwaidi fut sans détour : « Les Juifs ne sont pas d’Irak. Qu’ils partent. » En deux ans, 120 000 Juifs irakiens furent transportés par avion vers Israël lors des opérations Ezra et Néhémie, abandonnant derrière eux maisons, commerces et synagogues expropriés par l’État. La Grande Synagogue de Bagdad devint un entrepôt. En Égypte, après la victoire d'Israël lors de la guerre d'indépendance de 1948, les Juifs furent dénoncés comme des agents sionistes.
Après la guerre de Suez en 1956, le président Gamal Abdel Nasser expulsa des milliers de personnes. Son décret était d'une franchise effrayante : « Nous expulserons les Juifs. Nous les chasserons d'Égypte. » Les familles ne disposaient que de quelques jours pour partir, emportant avec elles une valise et vingt livres égyptiennes. Tout le reste était « saisi » par l'État. En décembre 1956, le ministère des Affaires religieuses déclara que les synagogues juives appartiendraient désormais à l'Égypte.
Au Yémen, où les Juifs avaient été traités comme des parias pendant des siècles – interdits de monter à dos d'animaux, contraints de transporter des ordures musulmanes et soumis au « décret sur les orphelins » qui les obligeait à être élevés dans la foi musulmane –, la quasi-totalité de la communauté, soit 49 000 personnes, fut évacuée par avion vers Israël lors de l'opération Tapis Magique (1949-1950). Ils partirent pieds nus, emportant à peine des rouleaux de la Torah. Le gouvernement yéménite saisit leurs maisons et déclara tous les biens juifs propriété de l'État.
En Libye, les pogroms de Tripoli en 1945 et 1948 firent des centaines de morts, détruisirent des synagogues et ébranlèrent une communauté vieille de 2 000 ans. En 1967, des émeutes antijuives, encouragées par la police, achevèrent le travail. Lorsque Mouammar Kadhafi prit le pouvoir en 1969, il décréta : « Tous les biens des Juifs sont la propriété de l'État libyen. » Les derniers Juifs furent déportés en 1970.
En Syrie, les Juifs étaient retenus en otage sur leur propre terre. Un décret de 1947 gela tous les comptes bancaires juifs et interdit la vente de biens juifs. Il leur était interdit d'émigrer. Le Premier ministre Khalid al-Azm en reconnut ouvertement le motif : « Nous ne pouvons pas les laisser partir ; ils sont notre monnaie d'échange. » Ce n'est que dans les années 1990 que les quelques centaines restantes furent autorisées à partir discrètement.
De Casablanca à Téhéran, le message était le même : vous êtes juifs. Vous n'êtes plus les bienvenus. Partez ou mourez. Dans les années 1970, les anciennes communautés juives du monde arabe – certaines antérieures à l'islam lui-même – avaient disparu.
Les chiffres ne sont pas contestés, même s'ils sont systématiquement ignorés. L'Organisation mondiale des Juifs des pays arabes a recensé 856 000 Juifs ayant fui ou été expulsés des terres arabes et musulmanes entre 1948 et 1972. À titre de comparaison, l'ONU elle-même estime que 711 000 Palestiniens ont été déplacés pendant la guerre d'indépendance d'Israël. L'exode juif a été plus important, mais on en parle rarement.
La dimension financière est tout aussi stupéfiante. En 2008, la Knesset israélienne a estimé la valeur des biens juifs confisqués à 300 milliards de dollars d'aujourd'hui. Les Juifs ont laissé derrière eux plus de 100 000 kilomètres carrés de terres, soit cinq fois la superficie d'Israël. Et pourtant, une seule population de réfugiés bénéficie d'une visibilité éternelle, institutionnalisée par l'UNRWA, tandis que l'autre est vouée à l'oubli.
La raison n'est pas mystérieuse. Le monde n'a pu supporter qu'une seule histoire de réfugiés – et il a choisi celle des Palestiniens. Non pas que leurs souffrances étaient plus grandes (elles ne l'étaient pas), mais parce qu'elles pouvaient être instrumentalisées contre Israël.
Les régimes arabes qui ont expulsé les Juifs ont également gelé les Palestiniens dans des camps pour les utiliser comme otages politiques. Le Liban leur a interdit l'accès à des dizaines de professions. La Syrie leur a refusé la citoyenneté. L'Égypte les a confinés dans des conditions sordides. Contrairement à tous les autres réfugiés de l'histoire, leur statut a été délibérément héréditaire.
Pendant ce temps, les Juifs de Bagdad et de Sanaa étaient absorbés par Israël. Pas d'UNRWA pour figer leur statut de victime. Pas de résolutions larmoyantes. Pas de théâtre de camps sans fin. Ils sont devenus citoyens, soldats, enseignants, bâtisseurs. Ils ont évolué. Cette dignité les a disqualifiés du complexe industriel de la pitié.
Les diplomates arabes et les progressistes occidentaux parlent avec une solennité pieuse du « droit au retour » des Palestiniens. Ils ne mentionnent jamais le droit des Juifs à retourner au Caire, à Damas ou à Fès. L'hypocrisie était inscrite dans le droit international lui-même. En 1967, la résolution 242 de l'ONU appelait à « un règlement juste du problème des réfugiés ». Notez le singulier : « problème », et non « réfugiés palestiniens ». À l'époque, les diplomates comprenaient qu'il désignait à la fois les réfugiés arabes et juifs.
L'ambassadeur britannique Lord Caradon, rédacteur de la résolution, a précisé : « Elle faisait référence à la fois aux réfugiés arabes et aux réfugiés juifs. » Cette interprétation a depuis été oubliée. Aujourd'hui, le « problème des réfugiés » est repensé comme une affaire exclusivement palestinienne.
L'effacement des Juifs des terres arabes n'est pas seulement un crime historique ; c'est une tromperie actuelle. Il entretient la fiction selon laquelle Israël est une colonie implantée par des colons européens. C'est une fantasmagorie mensongère. La moitié de la population juive d'Israël descend de communautés du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord. Ce ne sont pas des intrus ; ce sont les enfants de Bagdad, Sanaa, Tripoli, Alep et Hébron.
Lorsque Nasser a expulsé les Juifs égyptiens en 1956, lorsque l'Irak a dénaturalisé ses Juifs en 1950, lorsque Kadhafi a saisi leurs biens en 1970, ces Juifs n'ont pas disparu. Ils sont devenus Israéliens. Leur retour à la souveraineté n'est pas du colonialisme ; c'est une revendication. Les ignorer, c'est participer à une amnésie historique.
Chaque fois qu'un diplomate occidental marmonne des platitudes sur les « frontières de 1967 » ou qualifie le sionisme de « colonialisme de peuplement », il efface les Juifs du Moyen-Orient. Cette amnésie a un coût politique. Elle alimente la fraude intellectuelle qui dépeint les Juifs comme étrangers à la région qu'ils ont autrefois définie. Elle alimente la violence.
La mémoire de ces Juifs doit être restaurée, non seulement pour la justice, mais aussi pour plus de clarté. Sans leur histoire, le récit du Moyen-Orient se réduit à une caricature : les Israéliens sont des usurpateurs coloniaux, les Palestiniens sont d'éternelles victimes, les Arabes sont d'innocents spectateurs.
Une fois leur histoire restaurée, le tableau se précise : les Arabes sont à la fois persécuteurs et victimes, les Juifs sont à la fois réfugiés et rapatriés, Israël est à la fois sanctuaire et lieu de revendication. C'est pourquoi le sujet est tabou.
Reconnaître l'expulsion des Juifs des terres arabes, c'est démanteler le mythe qui sous-tend des décennies d'échec diplomatique. C'est admettre que le problème des réfugiés était à double tranchant : la justice ne peut se résumer à céder aux fantasmes palestiniens de « retour » tout en effaçant l'exode juif.
Les Juifs oubliés du Moyen-Orient ne l'ont pas été par accident. Ils ont été enterrés pour laisser place à un mythe. Un mythe empoisonne les institutions internationales, le monde universitaire occidental et la culture politique arabe depuis des décennies. Il est temps d'exhumer la vérité.
La mémoire n'est pas passive. C'est une résistance. Se souvenir des Juifs de Bagdad, du Caire et de Sanaa, c'est résister au déni et à la falsification de l'histoire. Exiger la restitution de leurs biens volés, c'est briser la moralité des régimes arabes. Raconter leur histoire aux côtés de celle des Palestiniens, c'est forcer la justice : il s'agissait d'un déplacement à double sens, et la survie d'Israël n'est pas une anomalie, mais une réponse.
Israël n'est pas l'intrus au Moyen-Orient. C'est sa mémoire, rendue incarnée. Se souvenir des Juifs du monde arabe, c'est se souvenir de ce qu'était autrefois la région – et de ce qu'elle a choisi de détruire. Cette vérité survivra à tout mensonge.


jeudi 25 septembre 2025

L'islamisme et l'antisémitisme ne sont jamais rassasiés.

 par Alain Legaret


Suite à l'attaque du drone houthi qui a fait 22 blessés dont deux graves à Eilat hier, Israël est en train de mener des représailles au Yémen. Encore une fois.
Or tant qu'on ne détruira pas complètement les Houthis ils continueront.
Comme je le rappelais dans un post plus tôt: Une obsession ne se termine qu'avec un traitement adéquat, ou par la concrétisation de cette obsession. Aucune étape intermédiaire ne rassasiera l'obsédé qui en demandera toujours plus.
Comme l'antisémitisme, l'islamisme est une obsession qui doit être stoppée ou qui se poursuivra sans fin.
Les USA ont stoppé Al-Qaïda après le 11 septembre. La France a stoppé l'Etat Islamique après les attentats de 2015. Mais on empêche Israël de stopper la fable palestinienne fabriquée de toutes pièces pour détruire Israël. Qu'elle prenne le nom de Hamas, de Fatah, de FPLP, de Jihad Islamique ou tout autre nom qu'on lui donnera pour la blanchir et repartir pour un tour, son but est et a toujours été de détruire Israël. Il n'y a qu'un hypocrite antisémite comme Macron pour croire ou faire semblant de croire qu'un Etat palestinien à coté d'Israël va amener la paix. Il sait très bien qu'il cherche à offrir aux barbares islamistes une base bien plus large que Gaza (avec une assise en Judée Samarie) pour détruire le peuple juif d'Israël dans un ou plusieurs 7 octobre majestueux assisté par les islamistes du Liban, les Houthis, l'Iran pendant que le nazi de l'Elysée savourera le champagne.
Assez joué avec les Houthis. Si on ne les arrête pas, ils ne s'arrêteront jamais. On sera encore condamné mais il n'y a pas d'autres issues possibles. Car nous ne pouvons compter sur leurs complices à l'ONU et dans les chancelleries arabes et occidentales pour les stopper. Cela fait deux ans que les Houthis bombardent la population israélienne et les barbares en costume et cravate ne font rien pour les arrêter. Au contraire, ils semblent savourer le bombardement sur les hommes, femmes et enfants juifs.

Les seuls qui ne sont pas colons sont appelés colons.

 par Alain Legaret

Les Occidentaux dont la France, l'Angleterre, la Belgique, l'Espagne qui ont dernièrement reconnu un Etat palestinien sur la terre d'Israël sont allés partout et ont colonisé partout.


Les Arabes sont allés partout et ont colonisé partout.


Les Juifs chassés de Judée sont allés partout et pendant 2000 ans d'exil ils n'ont jamais essayé une seule fois de coloniser une terre car ce sont les seuls qui ne sont pas dans l'expansion, la colonisation et l'appropriation de terres qui ne sont pas à eux. Pendant 2000 ans, ils ont répété le vœu: "L"an prochain à Jérusalem" car ils veulent juste leur terre et aujourd'hui même cette terre là, on la leur vole.


La Judée-Samarie qui porte leur nom a été maquillée depuis 1950 en "Cisjordanie" et en "West Bank" afin de nier que c'est la terre qui porte leur nom.

Le vertige de la Shoah attire les Européens vers le ravin.

 par Alain Legaret

Une obsession ne se termine qu'avec un traitement adéquat, ou par la concrétisation de cette obsession. Aucune étape intermédiaire ne rassasiera l'obsédé qui en demandera toujours plus.
J'entends dire que la reconnaissance d'un Etat pour les barbares palestiniens ne va rien changer concrètement. Je ne suis pas d'accord. Nous assistons actuellement à un antisémitisme débridé dont, comme toute obsession, le but final est d'arriver à son terme, ici par l'extermination des Juifs. La reconnaissance d'un Etat anti-israélien est une marche importante de plus qui vient d'être franchie vers ce but. Croyez moi qu'ils ne s'arreteront pas là et multiplieront les sévices contre Israël. Ils sont attirés vers et ne termineront leur course qu'avec l'extermination des Juifs exactement comme des personnes sujettes au vertige sont attirés vers le vide et ne s'arrêteront qu'au fond du ravin.
J'entends déjà dire ce matin que des bateaux militaires italien et espagnol vont accompagner la flottille vers Gaza. Au lieu de réprimer et de stopper la provocation, les gouvernements européens l'accompagnent. Pourquoi ne vont-ils pas faire une flottille vers la Russie? Avec des forces européennes autour ? Jamais cela n'arrivera car seul l'antisémitisme les meut. Et ce n'est que le début. Si l'Europe ne se soigne pas de son antisémitisme, nous allons droit vers une nouvelle Shoah, car seule une Shoah les rassasiera de leur obsession. Et encore, ils se promèneront ensuite entre les morts pour s'assurer qu'aucun corps n'est encore en vie.
Quand je dis que Macron, Sanchez, Starmer, Carney et leurs acolytes sont des nazis, ce sont de véritables nazis. Soit ils ne savent pas avec quoi ils jouent car ils sont incultes d'Histoire, soit ils y jouent en conscience.
Il a fallu la seconde guerre mondiale pour stopper les premiers nazis dans l'exécution de leurs terribles desseins. J'ignore ce qu'il faudrait aujourd'hui pour stopper les nouveaux nazis dans la poursuite dans leur sinistre obsession non-dite, peut-être inconsciente mais bien réelle, de commettre une seconde Shoah.


lundi 22 septembre 2025

De la spoliation des biens à la spoliation de la terre, le nazisme continue de sévir.

 Par Alain Legaret

En l'an 135, l'Empereur romain Hadrien baptisa la terre juive "Palestine" pour en déposséder les Juifs en dissociant le lien entre les noms de la terre "Judée" et celui de ses habitants "Juifs" (pour dissocier "toponyme" et "gentilé" en langage savant).
La Palestine désignant une région plus vaste, le terme Judée-Samarie, plus local, survécut à travers les âges.
C'est pourquoi durant 3500 ans le monde entier a toujours appelé cette région Judée-Samarie. Fait estampillé dans le plan de partage de l'ONU de 1947 qui définit la région comme Judée-Samarie, seule terme employé (aucune mention de Cisjordanie ou de West Bank, ces noms n'avaient pas encore été inventés).
Après 1948, quand le processus pour dépouiller les Juifs de leur terre (re)commença, est apparu le nom Cisjordanie en français ou West Bank en anglais. Exactement comme Hadrien, le XXe siècle, l'ONU en tête, a voulu dissocier le nom "trop juif" de Judée-Samarie des Juifs.
C'est ainsi que depuis 80 ans, un travail intense de révisionnisme a été entrepris pour transférer la possession de la terre ancestrale des Juifs aux Arabes qui furent ensuite appelés Palestiniens après 1964 pour mieux les rapprocher, phonétiquement du moins, de la terre juive.
Et ça a marché du tonnerre : le terme ancestral Judée-Samarie a alors disparu remplacé par Cisjordanie et le slogan "la Palestine aux Palestiniens" est apparu. Et les manifestants du monde entonnent en chœur: "La Palestine aux Palestiniens". En effet, quoi de plus logique? Sauf que la Palestine aux Palestiniens vient du double changement de nom, un de la terre juive Royaume d'Israël/Judée en Palestine/Cisjordanie et deux, celui des Arabes en Palestiniens.
C'est une spoliation étymologique en bonne et due forme de la terre des Juifs qui est aujourd'hui entérinée officiellement par les nations qui reconnaissent la Palestine comme un Etat aux imposteurs "Palestiniens".
Hier les nazis allemands confisquaient les maisons et les biens des Juifs, aujourd'hui d'autres nazis veulent confisquer la terre et l'Histoire des Juifs.
Il n'y a aucune différence entre Hitler et Macron dans le processus de confiscation. Le but est le même, voire celui de Macron pire, car il vole carrément le berceau du peuple hébreu. Il exclut les Juifs de la planète.
L'échec d'Hitler est dû à sa précipitation de confisquer en moins de 5 ans, c'est-à-dire dans la même génération, alors que Macron bénéficie d'une spoliation lente étendue sur plusieurs générations qui profite de l'effacement progressif des noms et donc de l'oubli des générations, Palestine et Cisjordanie ayant eu le temps de s'installer dans les esprits.
Je parle de Macron mais il faut évidement lui associer tous les nazis comme lui qui l'ont précédé ou qui le rejoignent pour déclarer un Etat anti-israélien sous les auspices de l'ONU, ce IVe Reich qui sévit contre l'Etat juif depuis sa création.


lundi 15 septembre 2025

1948: la Jordanie occupe Jérusalem-Est et la Judée-Samarie et en expulse les Juifs.

 Par Alain Legaret

Saviez-vous que lorsque la Jordanie a occupé Jérusalem-Est et la Judée-Samarie en 1948, elle a expulsé tous les Juifs qui y vivaient ?
Et pourquoi ne le saviez-vous pas ?
Serait-ce encore un énième mensonge par omission des médias de propagande qui depuis 80 ans formatent les esprits à haïr les Juifs ?
Allez, petit travail de réinformation :
Lorsque la Jordanie a occupé en 1948 Jérusalem-Est et la Judée-Samarie (appelée plus tard "Cisjordanie" par les antisémites) à la suite de la guerre israélo-arabe qui a suivi la déclaration d’indépendance d’Israël, les Juifs qui vivaient dans cette région ont été expulsés ou contraints de fuir.
Expulsion des Juifs (1948–1967)
Destruction de communautés juives : Des quartiers juifs historiques, notamment dans la Vieille Ville de Jérusalem (comme le quartier juif), ont été détruits. Les synagogues ont été saccagées ou rasées.
Interdiction de résidence : Pendant toute la période de l’occupation jordanienne (1948–1967), aucun Juif n’était autorisé à vivre dans la zone sous contrôle jordanien, y compris Jérusalem-Est et la Judée-Samarie.
Interdiction d’accès aux lieux saints : Les Juifs n’avaient pas le droit de visiter les lieux saints comme le Mur occidental (Kotel), malgré les engagements pris dans l’accord d’armistice.
Cette politique jordanienne a marqué une rupture historique dans la présence juive continue dans ces territoires depuis l’Antiquité. Ce n’est qu’après la guerre des Six Jours en 1967, lorsque Israël a repris le contrôle de la région, que les Juifs ont pu de nouveau y revenir.
Voilà l'un des points parmi tant d'autres dont les médias ne parlent jamais. Et il y en a tant comme ça glissés sous le tapis de l'Histoire afin que le narratif émergeant accuse les Juifs. Je vous le dis: depuis 80 ans, la presse est dirigée par des nazis et je n'exagère pas.


Israël occupe la Palestine tout comme la France occupe la Bourgogne.

Par Alain Legaret

Depuis plus de 50 ans, le monde fait passer la région Palestine pour un pays afin d'accuser les Juifs d'occupation.
Dire qu'Israël occupe des territoires palestiniens, c'est exactement comme dire que la France occupe la Bourgogne. C'est d'un ridicule!!
Normalement, cette farce n'aurait pas duré plus de cinq minutes. Mais voilà. Dès qu'il s'agit d'accuser le Juif, même le plus grossier des mensonges est pris au sérieux, répété, amplifié et devient une croyance véhiculée par toutes les ordures de la planète. Et lorsqu'on essaie de leur expliquer que c'est ridicule, elles se bouchent les oreilles et regardent ailleurs. Elles ne veulent surtout pas entendre.
Car elles n'ont que la haine et l'ignorance comme arguments et elles savent que ça ne pèse pas lourd face à la vérité et à l'Histoire.
Alors nous on est là à crier au monde l'évidence. Les montagnes entendent mais point d'écho ne revient. Au mensonge s'est ajouté l'affront.

mardi 9 septembre 2025

L'antisémitisme déguisé en morale: le cas espagnol.

par Alain Legaret

En 2024, l’Espagne reconnaît un État palestinien et condamne Israël pour sa présence en Judée-Samarie et à Jérusalem-Est. Elle exige le retrait des Juifs de leurs terres ancestrales, la fin des "colonies", et la création d’un État arabe avec Jérusalem-Est pour capitale. Cette posture diplomatique, présentée comme morale, est en réalité une démonstration d’amnésie historique et d’hypocrisie politique.
Car ce que l’Espagne interdit aux Juifs aujourd’hui, elle l’a elle-même accompli, et avec une radicalité que l’Histoire n’a jamais oubliée. Pendant plus de sept siècles, des familles musulmanes venues du Maghreb, du Moyen-Orient et d’Andalousie orientale étaient installées durablement dans la péninsule Ibérique. Elles n’étaient pas de passage, mais elles étaient solidement implantées. Elles ont fondé des villes, cultivé des terres, élevé des enfants, transmis des savoirs. Elles ont créé une société développée, cosmopolite, où Juifs, Chrétiens mozarabes et Musulmans coexistaient. Cordoue, Séville, Grenade furent des phares de culture, de science et de raffinement.
La Reconquista espagnole ne s’est pas limitée à des batailles entre armées. Elle s’est soldée par une épuration sociale, religieuse et culturelle d’une ampleur systématique. Ce ne sont pas seulement des soldats musulmans qui ont été vaincus : ce sont des familles entières, installées depuis des générations, qui ont été chassées, spoliées, traquées, puis effacées de la mémoire officielle.
Après la chute de Grenade en 1492, les Rois Catholiques avaient promis, par le traité de Grenade, de respecter les droits des Musulmans. Cette promesse fut rapidement trahie. Dès 1502, les Musulmans furent contraints de se convertir ou de quitter le territoire. Ceux qui restèrent, les Morisques, furent surveillés, suspectés, humiliés. Et entre 1609 et 1614, ils furent expulsés en masse par décret royal.
Mais ce n’était pas une simple expulsion administrative. C’était une confiscation organisée : Leurs maisons furent saisies, redistribuées ou revendues. Leurs terres agricoles furent annexées par la noblesse chrétienne. Leurs biens mobiliers, outils, bétail, objets personnels, furent pillés ou réquisitionnés. Les mosquées furent transformées en églises, les bibliothèques brûlées, la langue arabe interdite.
La Reconquista ne fut pas seulement une reconquête militaire. Elle fut une purge sociale, une expropriation massive, une violence d’État contre des populations civiles. Et cette réalité historique rend d’autant plus injuste et incohérente la posture actuelle de l’Espagne lorsqu’elle condamne les Juifs pour leur présence sur leurs terres juives historiques dont la Judée-Samarie.
Et pourtant Israël n’a pas expulsé les Arabes, n’a pas interdit l’islam, n’a pas effacé la culture arabe. Il y a même 20% d'Arabes en Israël qui pratiquent librement leur culte, tout ce que l’Espagne n’a jamais offert à Al-Andalus.
L’indignation espagnole n’est donc pas une posture morale. C’est une farce historique. L’Espagne s’est permise de chasser, confisquer, effacer, et elle ose critiquer et condamner aujourd’hui les Juifs. Elle glorifie sa propre reconquête tout en criminalisant celle des autres.
D'ailleurs, l’Espagne n’a pas proposé un État arabe sur son sol. Elle n’a pas suggéré que Madrid-Est devienne la capitale d’un État islamique. Elle n’a pas négocié une coexistence. Elle a imposé l’unité par la disparition de l’autre.
Pourquoi les colons musulmans installés sur la terre d'Israël auraient-ils des droits que ne méritaient pas les colons musulmans installés en terre d'Espagne ?
L’histoire exige de la cohérence. La mémoire exige de l’honnêteté. Et la politique étrangère ne peut pas être fondée sur une morale à géométrie variable. Si l’Espagne veut parler de justice, qu’elle commence par se souvenir de sa propre histoire. Qu’elle admette qu’elle n’a jamais toléré un État musulman sur son sol comme elle l'exige d'Israël, et qu’elle a effacé une civilisation entière de colons musulmans installées pourtant en Espagne depuis plusieurs siècles. Et qu’elle cesse de donner des leçons à un seul peuple au monde : le peuple juif.

mardi 26 août 2025

Le 7 octobre d'une famille du kibboutz Beeri

 Je viens d'écouter Avida Bachar du kibboutz Beeri raconter les 12 heures passées dans l'abri le 7 octobre avec sa femme Dana, son fils Carmel (15 ans) et sa fille Hadar (13 ans). Il a raconté comment lui et son fils retenaient la poignée de l'abri que les terroristes du Hamas tentaient d'ouvrir de l'autre coté jusqu'à ce que son fils prenne une rafale à travers la porte. Comment lui s'est pris la seconde rafale qui a éclaté son épaule et sa jambe. Comment les terroristes ont mis une charge explosive sur la fenêtre pour la faire sauter d'où il ont ensuite tiré une rafale qui a atteint sa femme. Ils ont ensuite jeté 3 grenades qui ont de nouveau touché sa femme et atteint les jambes de sa fille. Il a vu sa fille tenter d'enlever à la main de ses jambes les vis et boulons qu'ils avaient mis dans les grenades puis se faire un garrot toute seule pendant que lui baignait dans son sang. Il a vu pendant des heures sa femme et son fils agoniser sous ses yeux puis mourir.

Je crois que Macron et Barrot qui veulent reconnaitre un Etat palestinien sont des nazis.

dimanche 24 août 2025

C'est l'ONU qui bloque tout règlement du conflit israélo-palestinien

par Alain Legaret 

Paradoxalement, ce n’est pas la guerre de 1948 qui a figé le sort des réfugiés arabes, mais une règle administrative de l’ONU. Depuis 1949, l’UNRWA (Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine) applique une règle unique au monde, sans équivalent dans le droit international : le statut de réfugié palestinien est transmis de manière héréditaire, génération après génération. Cette exception, absente du mandat du HCR (Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés) qui gère tous les autres réfugiés du monde, a transformé une crise humanitaire en un problème politique inextricable, et contribue à la perpétuation d'un conflit israélo-palestinien.

Une inflation démographique artificielle

En 1950, l’UNRWA recensait environ 750 000 réfugiés arabes palestiniens ayant fui la guerre de 1948. En 2024, ce chiffre dépasse les 5,9 millions. Ce n’est pas le résultat de nouveaux déplacements, mais d’une règle administrative qui attribue automatiquement le statut de réfugié aux descendants, sans limite générationnelle.

Si l’ONU avait appliqué les critères du HCR, qui ne reconnaît pas les enfants de réfugiés comme réfugiés à part entière sauf cas exceptionnels , le nombre actuel serait probablement inférieur à 100 000, voire moins de 50 000. La majorité de ces personnes seraient âgées de plus de 80 ans, survivants directs des conflits de 1948 et 1967. Il n'y aurait donc aujourd'hui aucun problème israélo-palestinien.

Le précédent coréen : une crise trois fois plus grande, résolue en quelques années

La guerre de Corée (1950–1953) a déplacé plus de 2 millions de personnes, soit trois fois plus que la Nakba palestinienne. Pourtant, l’ONU n’a pas créé de statut héréditaire pour les réfugiés coréens. Elle a mis en place l’UNKRA (United Nations Korean Reconstruction Agency), une agence temporaire chargée de la reconstruction et de la réintégration.

En moins d’une décennie, les réfugiés coréens ont été intégrés dans la société sud-coréenne. Aucun coréen aujourd’hui ne revendique un droit au retour vers le Nord en tant que réfugié de guerre. Le problème a été traité, résolu, et absorbé par les institutions nationales.

Une règle qui alimente le conflit

La règle d’hérédité de l’UNRWA a eu des conséquences profondes et durables :

  • Elle maintient des millions d'Arabes palestiniens dans un statut de réfugié permanent, souvent dans des camps, sans perspective d’intégration.

  • Elle inscrit le droit au retour comme revendication centrale, rendant tout compromis diplomatique pratiquement impossible.

  • Elle empêche les pays hôtes d’intégrer les réfugiés, sous peine de légitimer l’abandon du droit au retour.

  • Elle transforme une aide humanitaire en dépendance structurelle, au lieu de favoriser l’autonomie.

L’ONU doit répondre de ses choix

Ce n’est pas un accident historique. C’est une décision politique et administrative prise par l’ONU, qui a institutionnalisé le problème au lieu de le résoudre. Contrairement à la gestion pragmatique des réfugiés coréens, l’ONU a choisi, dans le cas palestinien, de créer un mécanisme qui perpétue le conflit.

L’ONU ne peut se dérober à cette responsabilité. Elle est à l’origine d’un système qui, loin d’apaiser les tensions, les alimente depuis plus de 75 ans. Le conflit israélo-palestinien, dans sa dimension humanitaire, est aujourd’hui indissociable de cette règle. Il ne s’agit plus seulement d’un enjeu régional, mais d’un échec structurel de gouvernance internationale.

Personne ne peut résoudre un conflit dont les dés sont pipés dès le départ. L’ONU ne peut se soustraire à l’obligation de déconstruire le mécanisme qu’elle a elle-même mis en place, pour ouvrir enfin les perspectives de règlement serein du conflit qu'elle a complètement bloquées depuis trop longtemps.


samedi 23 août 2025

Arrêtons de considérer l'ONU comme une institution respectable alors qu'elle est clairement antisémite.

 par Alain Legaret

L’ONU : une institution en crise de neutralité face à Israël

Depuis sa création en 1945, l’Organisation des Nations Unies s’est présentée comme le garant de la paix, du droit international et de l’égalité entre les peuples. Pourtant, lorsqu’il s’agit d’Israël, cette institution semble avoir abandonné toute prétention à l’impartialité. Depuis plus de 80 ans, l’ONU entretient un biais anti-israélien manifeste, institutionnalisé à travers ses résolutions, ses agences et ses mécanismes de traitement du conflit israélo-palestinien.

Deux systèmes de réfugiés : une discrimination codifiée

L’un des exemples les plus flagrants de cette partialité est la coexistence de deux agences onusiennes chargées des réfugiés :

  • Le HCR (UNHCR), qui gère les réfugiés du monde entier selon une définition stricte et universelle.

  • L’UNRWA, créée exclusivement pour les Palestiniens, applique une définition unique au monde : elle considère comme réfugiés non seulement ceux qui ont fui en 1948, mais aussi leurs descendants, sans limite générationnelle.

Ce système parallèle n’a jamais été remis en question par aucun État membre, malgré son caractère discriminatoire et son impact déstabilisateur. Il contribue à gonfler artificiellement le nombre de réfugiés palestiniens, perpétuant le conflit au lieu de le résoudre. Cette exception palestinienne constitue une forme de racisme institutionnalisé, où un groupe bénéficie d’un traitement distinct, non pas pour des raisons humanitaires, mais pour des objectifs politiques.

Une avalanche de résolutions à sens unique

L’Assemblée générale de l’ONU adopte chaque année plus de résolutions contre Israël que contre tous les autres pays du monde réunis. Des régimes autoritaires, des États impliqués dans des génocides ou des violations massives des droits humains échappent souvent à la condamnation, tandis qu’Israël est systématiquement ciblé. Le Conseil des droits de l’homme consacre un point permanent à Israël (le fameux “point 7”), une mesure appliquée à aucun autre pays.

Silence complice des États membres

Ce biais anti-israélien perdure depuis des décennies sans qu’aucun État membre, pas même ceux qui se disent alliés d’Israël, n’exige une réforme structurelle. Aucun appel à l’unification des définitions de réfugiés, aucune remise en cause du mandat de l’UNRWA, aucune dénonciation officielle du traitement asymétrique réservé à Israël. Ce silence est une complicité.

Conclusion : une perte de crédibilité

L’ONU, en refusant de corriger ces dérives, sape sa propre légitimité. Elle ne peut prétendre incarner la justice internationale tout en appliquant des standards à géométrie variable. Le traitement réservé à Israël est non seulement injuste, mais il est aussi dangereux : il alimente la polarisation, empêche toute résolution durable du conflit, et transforme une institution censée unir les nations en un théâtre de règlements de comptes politiques.

Il est temps de dire les choses clairement : l’ONU n’est pas une source fiable lorsqu’il s’agit d’Israël. Son biais anti-israélien est structurel, ancien, et toléré par l’ensemble de la communauté internationale. Ce constat doit être porté haut et fort, pour que cesse enfin cette injustice prolongée.



jeudi 21 août 2025

Fin de cycle

 par Alain Legaret

Les enseignants n'osent plus parler par peur de finir comme Samuel Paty ou Dominique Bernard.

Les médias n'ont plus de déontologie et jouissent de l'argent du Qatar distribué par l'Elysée sous forme de subventions.

Les principales sources du savoir alors neutralisées, la porte est ouverte à la mystification :
On impose. On agresse mais on reste la victime. On menace ceux qui osent contester. On chasse ceux qui résistent. La vérité disparait sous le nombre.

On révise l'Histoire. On invente. On accuse. On ment ouvertement. Toute tentative de résistance est écrasée. Faut jouer l'apaisement pardi. Alors la République se couche. Pour ne pas faire de vagues, elle accompagne le tsunami. L'ignorance et le néant s'installent partout. Et la violence qui va avec. Adieu la France.

dimanche 17 août 2025

Le Hamas et les "journalistes", une histoire d'amour

 par Alain Legaret

Puisqu'on parle de faux journalistes mais de vrais propagandistes, comment ne pas citer le cas de Laurent Joffrin ? Cela fait 45 ans qu'il fait l'opinion. C'est long. C'est toute une vie. Combien de fois a-t-il menti? Comment de fois a-t-il caché la vérité? Combien de fois a-t-il orienté l'info ?
Si la France est aujourd'hui antisémite, on a là un des architectes.
Le 14 juillet 2025, Laurent Joffrin a même reçu la légion d'honneur. Sous ce tordu de Macron, dès que tu es menteur et antisémite, tu mérites un cadeau. Si en plus tu massacres des Juifs, on t'offre même un Etat.
Mais revenons à l'ordure Joffrin qui est tout ce qui est hideux mais certainement pas un journaliste lorsqu'il s'agit d'accuser l'Etat juif.
Rappelons les faits:
Le 12 juin 2014, Laurent Joffrin est nommé à la tête du quotidien français Libération.
Le 22 juillet 2014, Libération publie un article du journaliste Radjaa Abou Dagga qui raconte comment IL A ETE CONVOQUE PAR DES COMBATTANTS DU HAMAS A L'HOPITAL AL-SHIFA DE GAZA où il a été menacé. Il raconte que la pièce où se trouve le Hamas côtoie celle des malades de l'hopital.
Le 24 juillet 2014, suite aux menaces, le journal Libération dépublie l'article à la demande du journaliste.
Ce n'est pas un évènement courant. Laurent Joffrin était alors directeur de la rédaction de Libération. Il ne peut pas ignorer que le Hamas se cache au sein des hôpitaux.
Venons-en maintenant à l'interview qu'il a réalisé sur France Info avec l'autre ordure Jean-Pierre Filiu présenté comme un historien sans préciser qu'il est plus militant qu'historien.
Durant cet entretien Laurent Joffrin, jouant l'innocence, questionne Filiu:
"Du coup, je me pose la question, vous vous pouvez répondre plus facilement ou mieux que nous ou que les gens qu'on entend à des questions simples mais qui sont polémiques, par exemple, à chaque fois on est horrifié par les frappes sur les hôpitaux et sur les écoles. Les Israéliens répondent il y a sous ces bâtiments, ou à l'intérieur, des combattants. Est-ce que vous, vous pouvez répondre maintenant plus précisément, est-ce que c'est vrai, est-ce que la raison invoquée par les Israéliens a une réalité ou au contraire c'est une invention de la propagande?"
Et évidemment, Filiu abonde dans son sens.
Et au lieu que la vérité que Laurent Joffrin connait parfaitement depuis au moins juillet 2014 soit dite clairement, les deux compères rejettent le discrédit sur Israël.
Ce n'est plus de journalisme. C'est de la propagande pure. La Pravda est battue. Goebbels est battu. Laurent Joffrin devient l'inquisiteur qui ment pour accabler Israël. Nous sommes en 2025 !
Laurent Joffrin choisit donc de trahir la vérité pour protéger le Hamas et accuser la démocratie israélienne.
Ces derniers jours, je mettais l'accent dans plusieurs posts sur l'inexistence (presque) totale d'une vraie presse, sur le bafouement constant de la déontologie journalistique. Laurent Joffrin nous fait ici la démonstration que la presse est pourrie, anti-israélienne et antisémite.
Nous n'avons toujours pas eu d'excuses et de rectification de France Info, service public payé avec les impôts des Français, ni de mise à pied de Laurent Joffrin pour mensonge évident afin d'accuser les Juisraéliens.
Donc quand vous entendez parler de génocide, de famine, ou autre saloperie qui accuse Israël, n'oubliez pas que l'information en France est faite par les jihadistes assassins du Hamas avec la complicité de "journalistes" payés par l'Etat Français.

PS: vous rendez-vous compte que c'est quelque chose qui devrait être connu de tous puisqu'on a des preuves depuis au moins 2014 et là, je suis obligé de batailler (heureusement que j'avais fait des copies d'écran) pour faire admettre une évidence? Désolé, mais la France est un pays pourri. Il n'y a pas de presse mais un service de communication du Hamas. La France est antisémite, c'est clair. Et ça vient d'en haut.











jeudi 14 août 2025

Les territoires américains occupés, on en parle ?

par Alain Legaret

Et pour changer un peu, puisque nous vivons une période où on confond pays et régions, si on parlait des territoires américains occupés ?
L'Amérique est un territoire très vaste. Il s'étend du Groenland au nord jusqu'au Cap Horn au sud. L'Amérique compte aujourd'hui plusieurs centaines de millions d'Américains mais qui sont cantonnés uniquement aux Etats-Unis. Pourquoi ?
Parce que toute la partie nord de l'Amérique, qui soit dit en passant est d'une superficie supérieure à celle des Etats-Unis eux-mêmes, est occupée par 40 millions de Canadiens qui ont rebaptisé ces territoires américains : Canada.
Ne serait-il pas normal par les temps qui courent que l'Amérique soit aux Américains? De quel droit les colons canadiens occupent-ils toute la partie nord de l'Amérique?
Il est grand temps de réparer cette injustice et de retourner les territoires américains occupés au peuple américain.
Free America !
L'Amérique aux Américains !
Un instant ... On me demande pourquoi je n'ai de griefs qu'envers les colons canadiens mais aucun reproche envers les colons mexicains qui occupent pourtant tout le sud de ce continent américain.
Bonne question.
A vrai dire, je n'ai pas de réponse mais je vous promets de vous en donner une après qu'on m'aura expliqué pourquoi on reproche à Israël d'occuper des territoires palestiniens alors qu'on n'a aucun grief envers la Jordanie qui occupe pourtant 77% de la Palestine.





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