par Alain Legaret
Si on veut revenir à un monde juste et honnête il faut éliminer immédiatement les sources du mensonge et les remplacer par des institutions intègres.
Ci-dessous, quelques sources du mal à supprimer tout de suite:
Je reçois une notification de Reuters qui dit: "Israel says it killed Al Jazeera journalist Anas Al Sharif". C'est faux. Israël n'a jamais dit qu'il a tué un journaliste mais a dit qu'il a tué un terroriste. On comprend l'impact terrible de la déformation intentionnelle de Reuters. Reuters n'est donc pas une source d'infos fiables mais de propagande. Elle a trahi son contrat moral. Reuters doit être bannie.
Suivant.
Israël a autorisé les ONG à entrer à Gaza pour aider dans le domaine médical. En décembre 2024, MSF (Médecins Sans Frontières) a profité de son appellation ONG pour embarquer avec elle à Gaza Jean-Pierre Filiu, un militant anti-israélien qui y est resté un mois et pour ensuite écrire un livre brulot contre Israël. MSF aurait pu faire venir un médecin supplémentaire mais elle a préféré offrir la place à un militant. MSF a profité de son identité médicale pour couvrir la propagande anti-israélienne. Elle a trahi son contrat moral. MSF doit être bannie comme ONG.
Suivant.
Quand Le Monde, France Info ou LCI/TF1 invitent Jean-Pierre Filiu en le présentant comme un historien sans dire qu'il est militant, ils trompent le public. Ils trahissent la déontologie journalistique. Ils ne sont plus des médias mais des groupes militants. Ils ne peuvent plus être appelés "presse" et doivent être bannis.
Suivant.
Quand Léa Salamé dans l'émission "Quelle époque" invite Raphael Pitti en le présentant comme médecin humanitaire sans dire que c'est un militant, elle trompe le public et ses invités dont Thierry Ardisson qui laisse échapper un "Gaza c'est Auschwitz" après avoir écouté le docteur militant. Cette scène était intentionnelle. "Quelle Epoque" doit être déprogrammée ou présentée comme émission de propagande anti-israélienne.
Suivant.
Quand le magazine Time aux 55 millions de lecteurs publie en Une de couverture la photo d'un enfant souffrant d'une maladie auto-immune en faisant croire que c'est un enfant souffrant d'une famine à Gaza, pour ensuite publie ses excuses en lettres minuscules sur un compte X (twitter) annexe à seulement 80 mille abonnés, le Time n'est pas honnête. Il trahit la déontologie journalistique. Ce n'est pas un organe d'information mais un porte-voix du Hamas. Ses employés doivent rendre leurs cartes de presse et le magazine Time doit être fermé.
Suivant.
Suivant.
Quand l'APF et autres médias couvrent la guerre à Gaza en prenant leurs infos auprès du Ministère de la Santé de Gaza et de la Défense Civile de Gaza sans dire que les deux font partie du même groupe terroriste Hamas qui a massacré, décapité, brulé vif et kidnappé le 7 octobre, l'AFP et autres médias trompent leur public. Ils ont trahi la déontologie journalistique. Ils doivent rendre immédiatement leurs cartes de presse et être déchus de leur fonction de journalistes. Ce sont des militants dont la place est dans les manifestations mais surtout pas dans les rédactions.
Suivant.
Quand les journalistes qui couvrent les évènements de Gaza ont passé un accord, qu'il soit formel ou tacite, avec le Hamas pour ne dire que des choses conformes à la volonté du Hamas, quand de surcroit, ils ne préviennent pas le public que tout ce qu'ils racontent a forcément été agréé par le Hamas, ils ne font plus de l'info mais du militantisme. Ils ont trahi la déontologie journalistique. Ils doivent rendre leurs cartes de presse immédiatement et aller faire un autre travail. En tout cas, dans un monde à l'endroit, ils ne doivent plus jamais être appelés journalistes.
J'ai publié ici (https://www.facebook.com/share/p/16jpDUCDbf/) un post sur un article de Libération de 2014 qui avait ensuite été dépublié à la demande du journaliste parce qu'il avait été convoqué à l'Hôpital Shifa de Gaza et menacé par les membres du Hamas. En passant, Libération reconnaissait que l'Hôpital sert de QG au Hamas mais se garde bien de le répéter haut et fort. Libération et les autres médias qui collaborent avec la ligne éditoriale du Hamas mais qu'on appelle tout de même à tort "journalistes" ont trahi la déontologie journalistique. Ils doivent être bannis du métier et rendre leurs cartes de presse immédiatement. Ils ne sont pas journalistes mais militants.
Vous voyez, pour remettre le monde à l'endroit, pour que la vérité triomphe du mensonge, il y a énormément de travail qui n'a jamais été fait mais qu'on pourrait faire immédiatement. Il faut virer les véreux. Ces gens doivent être démis immédiatement de leurs fonctions. Aujourd'hui, le journalisme n'existe (presque) plus. Le monde se nourrit (presque) exclusivement de militantisme. (Presque) Tout est faux. Il y a urgence.
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